Couture sur mesure, me voilà, (presque) tout à toi !
Cette année, c’est mon année couture.
Et pour ça, je ne suis pas seule. Quelques remerciements s'imposent. En général, on les fait à la fin... Je préfère les faire dès le début, comme ça, on en parle plus.
Merci la mairie de Paris de me prodiguer d’excellents cours de coupe-couture tous les mardis soirs, pour une somme annuelle modique (60 €).
Merci maman d’enfin te rendre compte que j’aime coudre, et de me transmettre tes connaissances avec bienveillance.
Merci Aurélie de me prêter ta machine à coudre (Toyota, mais bon, je vais pas me plaindre, cette petite japonaise est bien pratique et elle avale les épaisseurs de tissus sans broncher).
Merci ma soeur Anne, d’avoir dégoté une super Singer des années 50 au look improbable, pour 10 €, dans une vente de dames patronnesses du 6e arrondissement, et de l’avoir porté jusqu'à mon 5e étage (sans ascenseur, of course).
Merci à feu ma grand mère, de nous avoir transmis en parfait état ta belle Singer à pédale, et de l’avoir laissé dans la maison familiale de nos vacances en Bretagne, sur la falaise.
Merci Audrey, de m’avoir encouragé (poussé, forcé) à m’inscrire aux cours de couture de la mairie de Paris. Jamais je n’aurais eu cette démarche sans toi, je ne pensais pas y avoir ma place. C’était une erreur, les cours sont supers, et c’est un nouveau vivier de copines. J’adore y être.
Merci Agathe, ma fille chérie, de supporter le bordel qu’un atelier de couture impose à un 40 m2 sous les toits (ben oui, comme d’habitude, de toute façon, t’avais pas le choix!), et d'être mon mannequin-cobaye.
Et merci Cathy, d'être mon deuxième mannequin-cobaye, de m’encourager, et de me confier tes robes et des tissus, en ne doutant pas une seconde de ma capacité à reproduire les unes dans les autres.
Voilà, c’est dit.
Cette année, c’est mon année couture.
Et pour ça, je ne suis pas seule. Quelques remerciements s'imposent. En général, on les fait à la fin... Je préfère les faire dès le début, comme ça, on en parle plus.
Merci la mairie de Paris de me prodiguer d’excellents cours de coupe-couture tous les mardis soirs, pour une somme annuelle modique (60 €).
Merci maman d’enfin te rendre compte que j’aime coudre, et de me transmettre tes connaissances avec bienveillance.
Merci Aurélie de me prêter ta machine à coudre (Toyota, mais bon, je vais pas me plaindre, cette petite japonaise est bien pratique et elle avale les épaisseurs de tissus sans broncher).
Merci ma soeur Anne, d’avoir dégoté une super Singer des années 50 au look improbable, pour 10 €, dans une vente de dames patronnesses du 6e arrondissement, et de l’avoir porté jusqu'à mon 5e étage (sans ascenseur, of course).
Merci à feu ma grand mère, de nous avoir transmis en parfait état ta belle Singer à pédale, et de l’avoir laissé dans la maison familiale de nos vacances en Bretagne, sur la falaise.
Merci Audrey, de m’avoir encouragé (poussé, forcé) à m’inscrire aux cours de couture de la mairie de Paris. Jamais je n’aurais eu cette démarche sans toi, je ne pensais pas y avoir ma place. C’était une erreur, les cours sont supers, et c’est un nouveau vivier de copines. J’adore y être.
Merci Agathe, ma fille chérie, de supporter le bordel qu’un atelier de couture impose à un 40 m2 sous les toits (ben oui, comme d’habitude, de toute façon, t’avais pas le choix!), et d'être mon mannequin-cobaye.
Et merci Cathy, d'être mon deuxième mannequin-cobaye, de m’encourager, et de me confier tes robes et des tissus, en ne doutant pas une seconde de ma capacité à reproduire les unes dans les autres.
Voilà, c’est dit.
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