Et voilà.
La copie, presque aussi bien que l'originale.
J'ai relevé le patron, je peux la reproduire. C'est déjà ce que j'ai fait. En noir.
A part quelques détails difficiles à négocier, c'est un jeu d'enfant. Mais deux fois de suite le même modèle... C'est lassant.
28/05/2008
Résultat de copie
27/05/2008
Copie
Ma copine Cathy me cautionne de facultés que j'ai peut-être...Elle m'a confié une robe-tunique qu'elle adore, et une mission : la reproduire.
Mission acceptée : le modèle est simple, et on a trouvé un coupon de tissu noir, 1,50m de coton d'une douceur incroyable, pour une somme modique (de mémoire, autour de 6 €) chez Sacrés Coupons. Dommage, il n'y en avait qu'un seul.
Bref, prise de risque minime.
Voilà le modèle :Simplissime, mais efficace. Pas de manches à monter = une difficulté de moins.
Quelques subtilités font que le modèle est plutôt mimi.
Les épaules : 4 petits plis cousus donnent de l'ampleur.
Et sur le devant, sous la patte de boutonnage, des petites fronces , discrètes dans l'imprimé. Défi relevé.
Le résultat est presque fini, et j'en suis assez contente.
24/05/2008
De la difficulté de s'auto-portraitiser
Je veux présenter mes petites confections... Alors tant que j'ai pas de mannequin, c'est soit sur un cintre, soit sur moi.
Sur un cintre, c'est pas idéal.
Sur moi, c'est pas tellement mieux. Au premier plan : mon appareil photo. En arrière plan, la porte de la toute petite cuisine de mon tout petit appartement. Et entre les deux, ma robe sur moi.
Flash? On voit rien.
Pas flash? C'est flou... Tant pis.
22/05/2008
Variations sur le même thème
Incapable de reproduire servilement un modèle.
Je prends ce qui m'intéresse et je transforme. Parfois pour améliorer, parfois (souvent) parce que j'ai pas le matériel sous la main (pas assez de tissus, pas le bon élastique, pas les boutons, etc...). Et finalement, c'est aussi bien.
Pour ce modèle, je suis partie d'un patron trouvé dans un livre de couture japonais.
Bonne élève, je l'ai fait une première fois, presque à l'identique, sauf pour le boutonnage. Le modèle est ultra simple, mais un peu trop large à mon goût au niveau des hanches.
Je l'ai fait une seconde fois, avec le même tour de poitrine, mais plus droit, et donc un peu plus étroit en bas.
J'ai acheté le tissu sur le site américain Reprodepot.com. Avec les mesures en inches, je n'avais de toute façon pas une largeur suffisante.J'ai changé un peu les détails : boutonnage bord à bord, et pas de fronces élastiques en bas.
J'avais un joli tissu en jersey noir avec de très fines rayures argentées, acheté chez Sacrés coupons (4 bis, rue d'Orsel, Paris, 18e). J'en ai fait cette petite robe toute simple, toujours d'après le même patron. J'ai évasé légèrement les cotés, pas autant que sur le modèle original. Comme je suis un peu feignante sur les finitions, j'ai posé un biais noir sur les bords des manches et du col. Et voilà.Ça y est, j'ai fait le tour de la question avec ce patron. Je vais le ranger pour un bon moment...
19/05/2008
Mannequin sur mesure
J'ai toujours rêvé d'avoir un mannequin de couture.
Mon rêve est presque devenu réalité, grâce à une bonne idée trouvée sur le blog de La Bobine.
Un sac poubelle, du scotch-toile, quelques étapes :




Remplir avec du papier journal... et continuer à rêver à un Stockman...
17/05/2008
Singer 15K88
Dans ma collection : Singer à pédale, modèle sorti en 1934 aux États-Unis. Achetée après 1945 par ma grand-mère. Conservée en parfait état.Son maniement est un peu déroutant au début, mais une fois que le coup de pied est pris, pour actionner la pédale, cette machine s'avère tout aussi efficace qu'une machine équipée d'un moteur, le charme en plus.
Bien sur, elle ne permet que de faire des points droits. Ma grand-mère (merci Bonne-Maman) avait investi dans un pied spécial broderie. Je n'ai pas encore testé cette merveille.
15/05/2008
Dans l'atelier de mes rêves
J'en rêve : un atelier, avec de la place, de la lumière, équipé d'une grande table pour la coupe, une machine à coudre Pfaff, une surjeteuse, et au milieu de l'atelier, en bonne place, un mannequin Stockman,... un rêve à 460 euros.
Celui-là est exactement à mes mensurations, sur son pied en fonte.
Ces mannequins d'atelier ne s'achètent, en France, qu'à Paris, au 163, rue du Faubourg Saint Honoré, 8e.
Pour rêver : le site www.stockman-paris.fr